Vincent Le Texier, site officiel

VINCENT LE TEXIER

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VINCENT LE TEXIER
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PELLÉAS ET MÉLISANDE

Claude Debussy
Montpellier 2022

« On ne présente plus Vincent Le Texier. Il campe un Arkel d’anthologie, tant par la qualité de son chant que par sa présence. Tout sauf naïf, larmoyant et manipulateur, il va progressivement sortir de sa torpeur pour devenir un des personnages les plus émouvants, spécialement au dernier acte. La voix, admirable, sait se faire impérieuse comme aimante, caressante, toujours intelligible, magnifique de projection. »
Yvan Beuvard – Forum Opéra 11/03/2022

« Selon notre perception, c’est toutefois Vincent Le Texier en patriarche Arkel, qui surplombe le plateau. Son jeu de scène en prophète aveugle, ses tremblements maîtrisés n’ont d’égal que la maîtrise vocale d’un épigone debussyste, qui a chanté Golaud pendant des décennies, de Moscou (première en 1988 sous la baguette de M.Rosenthal) à l’Opéra de Paris. Depuis quelques années, il confère une aura majestueuse au roi dépassé par la fatalité : l’outre-tombe de ses graves, le métal de ses aigus se marient à l’or des trombones et tubas (11e scène, début du IV). »
Yseult – Première Loge 11/03/2022

« La présence d'Arkel, faite d'autorité et de sagesse (même si elle est aveugle) est portée entre lumière et pénombre par le timbre profond de Vincent Le Texier. »
Emmanuel Deroeux – Olyrix 10/03/2022

« Vincent Le Texier impose un Arkel écrasant, par sa stature, par l'ampleur de son instrument, mais surtout parla douleur et la tension qui émanent de son personnage de vieillard crucifié par la maladie. Cette interprétation,à la fois pleine de noblesse et quasi expressionniste, produit un impact théâtral formidable. »
Jacques Bonnaure - Opéra magazine

PELLÉAS ET MÉLISANDE

Claude Debussy
Montpellier 2022

« On ne présente plus Vincent Le Texier. Il campe un Arkel d’anthologie, tant par la qualité de son chant que par sa présence. Tout sauf naïf, larmoyant et manipulateur, il va progressivement sortir de sa torpeur pour devenir un des personnages les plus émouvants, spécialement au dernier acte. La voix, admirable, sait se faire impérieuse comme aimante, caressante, toujours intelligible, magnifique de projection. »
Yvan Beuvard – Forum Opéra 11/03/2022

« Selon notre perception, c’est toutefois Vincent Le Texier en patriarche Arkel, qui surplombe le plateau. Son jeu de scène en prophète aveugle, ses tremblements maîtrisés n’ont d’égal que la maîtrise vocale d’un épigone debussyste, qui a chanté Golaud pendant des décennies, de Moscou (première en 1988 sous la baguette de M.Rosenthal) à l’Opéra de Paris. Depuis quelques années, il confère une aura majestueuse au roi dépassé par la fatalité : l’outre-tombe de ses graves, le métal de ses aigus se marient à l’or des trombones et tubas (11e scène, début du IV). »
Yseult – Première Loge 11/03/2022

« La présence d'Arkel, faite d'autorité et de sagesse (même si elle est aveugle) est portée entre lumière et pénombre par le timbre profond de Vincent Le Texier. »
Emmanuel Deroeux – Olyrix 10/03/2022

« Vincent Le Texier impose un Arkel écrasant, par sa stature, par l'ampleur de son instrument, mais surtout parla douleur et la tension qui émanent de son personnage de vieillard crucifié par la maladie. Cette interprétation,à la fois pleine de noblesse et quasi expressionniste, produit un impact théâtral formidable. »
Jacques Bonnaure - Opéra magazine

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